"Notre pratique est une escroquerie. Bluffer, faire ciller les gens, les
éblouir avec des mots qui sont du chiqué, c'est quand même
ce qu'on appelle d'habitude du chiqué… Du point de vue éthique,
c'est intenable, notre profession... Il s'agit de savoir si Freud est oui
ou non un événement historique. Je crois qu'il a raté
son coup. C'est comme moi, dans très peu de temps, tout le monde
s'en foutra de la psychanalyse."
(J. Lacan, le 26 janvier 1977)
"La psychothérapie ramène au pire...Ce n'est pas la peine
de thérapier le psychique. Freud aussi pensait ça. Il pensait
qu'il ne fallait pas se presser de guérir."
(J. Lacan, 1977, cité
par Jacques Van Rillaer in : "les illusions de la psychanalyse." Edition
: Mardaga. 3° édition. Page : 376).
"Je me dis souvent pour apaiser le conscient : surtout ne pas vouloir guérir,
apprendre et gagner de l'argent ! Ce sont les représentations de
but conscientes les plus utilisables."
(S. Freud à Jung, lettre
du 25-01-1909. Cité par Jacques Van Rillaer).
"Ils ne se doutent pas que nous leur apportons la peste." (confidence de
Freud à Jung en 1909 lors de l'arrivée de Freud aux Etats-Unis).
"La langue, à peu près quelle qu'elle soit, c'est du chewing-gum."
(J. Lacan, 1977, cité
par Jacques Van Rillaer).
"Je leur tordrais le cou, à tous". "Les patients c'est de la racaille". (de Freud à Ferenczi)."La psychanalyse est comme le Dieu de l'Ancien Testament, elle ne peut tolérer qu'il y ait d'autres dieux." (Freud).
Freud admirateur de la Sainte Inquisition :
" Je rêve ainsi d'une religion du diable extrêmement primitive dont les rites s'exercent en secret et je comprends maintenant la thérapeutique rigoureuse qu'appliquaient les juges aux sorcières. Les liens de connexions ne manquent pas." (Lettre de Freud à Fliess).
"Pourquoi est-ce que les confessions faites sous la torture, ressemblent tant aux communications faites par nos malades en cours de traitement." (Lettre de Freud à Fliess du 17/01/1897).
"Nous traitons nos adversaires comme des malades." (Freud).
Freud à propos des femmes :
« ...l'infériorité intellectuelle de tant de femmes, qui est une réalité indiscutable, doit être attribuée à l'inhibition de la pensée, inhibition requise pour la répression sexuelle. »Sigmund Freud, 1908