Freud et la numérologie :
le gaz hilarant* de la psychanalyse.



La psychanalyse est une imposture...

Comme l'explique Jacques Van Rillaer, co-auteur du "Livre noir de la psychanalyse", et ancien psychanalyste auteur du fameux "Les illusions de la psychanalyse", Freud était féru de numérologie. Il prétendait que lorsqu'un individu disait par exemple "2113", c'était son inconscient qui lui avait dicté ce nombre, et que chaque membre de ce nombre correspondait à un événement particulier de la vie de celui qui l'avait formulé.
Comme Freud a revendiqué un déterminisme absolu excluant tout hasard psychique et tout non-sens psychique (voir le livre de Jacques Bouveresse : "Mythologie, philosophie et pseudo-science, Wittgenstein lecteur de Freud"), d'une part, et, d'autre part, que la théorie de l'inconscient était soit-disant scientifique, il est permis de penser que, comme toute science digne de ce nom, la psychanalyse doit, en plus d'interpréter un nombre que j'énonce, en faire la prédiction.

        Mais ne soyons pas trop vache, contentons-nous de lui demander d'interpréter le nombre qui suit :

21356489754215689723556987845212364589,23654189563254

        Eh oui, s’il y a, prétendument, un déterminisme psychique absolu, excluant tout hasard psychique, il est LOGIQUEMENT possible, pour un psychanalyste d'interpréter ce nombre ou d'interpréter (et non expliquer) chaque note d'une partition de Mozart.
 

Patrice Van den Reysen.

*Errata : comme le démontrent  les auteurs du "Livre noir de la psychanalyse", il se pourrait bien que "le gaz hilarant" soit...l'argent !


Accueil